20 jeunes de 16 à 18 ans réaliseront une mission d'intérêt général dans le cadre de la phase 2 du SNU au sein de la gendarmerie de Saône et Loire. 
 
La gendarmerie nationale en lien avec l'éducation nationale s'engage dans le service universel (SNU) et propose aux bénéficiaires de la 1ère phase dite de cohésion (SNU1) de poursuivre une mission d'intérêt général (MIG-SNU2).

L'association les cadets de la gendarmerie de Saône-et-Loire (ACGEND71) a été créée à cet effet dans notre département. Sous statut de la loi de 1901 relative aux associations, l'ACGEND71 inscrit son action dans le respect des objectifs nationaux.

Ses objectifs :

- Faire découvrir les métiers de la gendarmerie, s’imprégner de l’esprit militaire et renforcer l’esprit de cohésion.

- Promouvoir les valeurs de la citoyenneté et entretenir le devoir de mémoire.

- Renforcer le lien Armée-Nation et développer l'esprit citoyen autour de projets collectifs dans les domaines de l’environnement, de la sécurité, des activités sportives, de la solidarité et du lien social.

La participation à la MIG est valorisée par la remise d'un brevet lors d'une cérémonie militaire.
L’encadrement est assuré par des membres de l’association et des militaires de la gendarmerie.

L'association offre à 20 Cadets en 2023/2024 une opportunité unique de s'engager dans un parcours structuré visant à développer leur sens des responsabilités, leur esprit d'équipe et leur attachement aux principes républicains. « Grâce à des programmes éducatifs, des formations pratiques et des activités de service communautaire, nous les guiderons sur le chemin de la citoyenneté active et responsable, des valeurs de l’engagement personnel. Ainsi, nous contribuerons à renforcer les bases de notre société. »

Les cadets bénéficient d’une gratuité totale pour réaliser la Mission d’Intérêt Général du SNU2. « Notre budget de fonctionnement pour la session 2023-2024 est de 30 000€, soit 1500€ par Cadet. L’association prend en charge les frais d’habillement, d’hébergement, de stage, de transport et de subsistance. »

 

Ils avaient rendez-vous vendredi à la gendarmerie de Charnay pour une visite des lieux