La nouvelle résidence de MÂCONhabitat, située rue de Paris, ouvrait ses portes vendredi, 5 mois après l'inauguration.

L'occasion de rencontrer les premiers résidents.

Parmi ces premiers locataires, Martine, qui se félicite de son choix : « J’ai aménagé au mois de juillet dans cette résidence et je suis satisfaite. C’est bien organisé. Les mercredis, on se retrouve ici avec les enfants, les vendredis, on organise des apéritifs. Super ! »

Le bailleur social MÂCONhabitat, propriétaire de la résidence, a contracté des animations par le biais de l’association ADMR.

« On essaye d’organiser des activités tous les jours, en faisant des choix avec les locataires. Certains apprécient simplement le fait simplement de discuter, sans être attiré particulièrrment par les animations quotidiennes. En fait, les gens ne souhaitent pas des animations comme dans les EHPAD. On leur dit donc qu’ils peuvent mener leur vie comme ils veulent et qu’ils peuvent nous joindre quand ils veulent », explique Estelle, une des animatrices de l’association. Les visiteurs ont été accueillis par l'équipe de la résidence et les dirigeants de Mâcon Habitat.

Claude Cannet, présidente de MÂCONhabitat

Les locataires disent qu’ils apprécient le côté convivial, qui leur permet de rompre leur solitude. Ils apprécient la proximité des commerces, le bus qui s’arrête juste devant, le fait que le bâtiment soit lumineux, qu'il y ait une terrasse. Globalement, ils sont satisfaits. Les personnes intéressées pour louer un appartement peuvent visiter la résidence. Beaucoup de monde est venu depuis ce matin. Nous avons envoyé des lettres à celles et ceux susceptibles d’être intéressé(e)s.

40 appartements sont disponibles. L'ensemble immobilier, conçu sur cinq niveaux (RDC au R+4 sur sous-sol semi-enterré), comporte 48 logements (du T1 bis au T3) du R+1 au R+4 ainsi que les communs au RDC (salon polyvalent, sanitaires, local à vélo etc ...) sur une parcelle d'environ 1450 m2, au 247 rue de Paris. Un parking de 25 places dont 2 PMR figure sur un niveau de sous-sol semi-enterré.

Cristian Todea