Communiqué :

 

Fidèle au projet écologiste, le groupe régional « Écologistes & Solidaires » fête la journée du 8 mars en rappelant les notions d’égalité et de dignité.

Les inégalités entre les femmes et les hommes et les violences sexuelles et sexistes ne sont pas une fatalité ! Salaires, émancipation, sécurité, dignité : c’est pour plus de la moitié de la population française que nous exigeons l’égalité réelle, une considération non plus seulement en mots, mais en actes.

Depuis la première vague de #Meetoo, la parole se libère, les prises de conscience se succèdent et les mouvements d’indignation et de révolte font plus que jamais résonner la voix des femmes. Nous réaffirmons notre soutien à toutes celles qui ont eu ce courage pour qu’en politique, dans la culture, au travail, à la maison, les femmes parlent et agissent.

Violences sexistes et sexuelles, mais également violences climatiques. En effet, le changement climatique frappe d’abords les plus pauvres et les plus fragiles dont une grande majorité de femmes et de filles. Lutter contre le changement climatique, c’est donc garantir une amélioration substantielle des droits des femmes.

Notre groupe éco-féministe et majoritairement féminin traduit en actes toutes ces revendications et les luttes portées de longue date par nos consœurs.

Six femmes sur 8 élu.e.s, dont deux vice-présidentes, Stéphanie Modde et Sarah Persil, deux conseillères régionales déléguées Marie-Claire Thomas et Amandine Rapenne, la présidente de groupe Claire Mallard, et Aurore Lagneau, en charge au sein de notre groupe des questions de culture, travaillent au quotidien pour que la Région Bourgogne-Franche-Comté soit un territoire de coopération entre la nature, les femmes et les hommes.

Cette réconciliation entre l’ensemble de la sphère du vivant, Claude Mercier, en charge de la formation et de l’aménagement du territoire et Éric Oternaud, conseiller délégué à la conversion écologique de l’économie et l’Economie Sociale et Solidaire la portent et la défendent avec la même conviction.

« Les progrès sociaux et changements de périodes s’opèrent en raison du progrès des femmes vers la liberté ; et les décadences d’ordre social s’opèrent en raison du décroissement de la liberté des femmes ».
Charles Fourier (vers 1830).

Claire Mallard, présidente de groupe Écologistes & Solidaires