Les élu.e.s RN ont brandi des pancartes en conseil, provoquant une interruption de séance... La présidente annonce dans un communiqué vouloir porter plainte suite à un mot prononcé par un élus RN, «empruntant au vocabulaire Nazi » dénonce-t'elle... ACTUALISÉ : Le droit de réponse de l'élu ayant prononcé le mot «untermenschen», «sous-hommes en Français».
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Face à l’attitude insupportable et antidémocratique de la présidente socialiste de la Région Bourgogne Franche-Comté qui ne cesse de piétiner les droits des élus du Rassemblement National et au cours d’une séance particulièrement houleuse, j’ai utilisé de manière inadéquate, inappropriée et très malheureuse, le terme de « untermenschen » pour qualifier le statut des élus de l’opposition au conseil régional.
Il est bien évident qu’à aucun moment je n’ai voulu faire un parallèle avec le martyr du peuple juif et de nos amis israéliens qui depuis le 7 octobre 2023 subissent la barbarie des terroristes islamistes du Hamas. Aux personnes qui pourraient être blessées, j’adresse mes regrets d’avoir utilisé ce mot.
Je dénonce avec la plus grande fermeté cette odieuse et sordide exploitation politicienne d’une majorité NUPES aux abois dont il faut rappeler les écœurantes connivences avec l’extrême gauche LFI qui considère les massacreurs de juifs du Hamas comme des résistants sans que cela n’ait jamais choqué Marie-Guite Dufay.
Cette manœuvre grotesque et cette communication stérile sont révélatrices des priorités infamantes de la majorité socialo-écolo-communiste qui préfère prendre le parti des migrants coupables d’agressions sexuelles au lieu de défendre les femmes qui en souffrent.
Les élues de gauche, féministes en carton recyclé, sont restées silencieuses. Pout toutes ces belles âmes, la défense des droits et libertés des femmes n’est qu’un fond de commerce, leur vrai combat étant celui de l’accueil à tour de bras de populations étrangères au détriment de la sécurité des femmes de la région.
Alors que les étrangers représentent 7,8% de la population en France, ils sont 13% parmi les mis en cause des violences sexuelles. A Paris, 52% des viols sont le fait d’étrangers et les étrangers représentent 73% des agresseurs sexuels dans les transports selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.
C’est une réalité incontestable et largement documentée : l’immigration est le carburant de l’insécurité !
Cette réalité est insupportable à tous les ayatollahs de l’immigration qui persistent dans leur aveuglement sur les conséquences de ce « vivre-ensemble » qui se transforme souvent en « vivre en enfer ». Pourtant, dénoncer ces faits intolérables, cette violence, cet ensauvagement, devrait rassembler.
Faut-il porter plainte contre le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, qui avait lui-même dit : « nous voulons permettre l'expulsion de tout étranger reconnu coupable d'un acte grave par la justice » ?
Faut-il porter plainte contre l’ancienne ministre Marlène Schiappa, qui avait déclaré : « quand un étranger commet des violences sexistes et sexuelles, il doit cesser d’être accueilli en France » ?
Coupable d’aveuglement idéologique, la majorité de gauche est aussi complice en alimentant l’immigration de peuplement par une politique attractive avec près de 32 millions d’euros consacrés à la formation des migrants depuis 2016.
Le Rassemblement National, comme 85% des Français, demande l’expulsion systématique des délinquants et criminels étrangers. Julien Odoul rappelle que la place d’un violeur français est en prison, la place d’un violeur étranger est dans un avion !
Communiqué de la présidente Marie-Guite Dufay
Le Rassemblement national emprunte au vocabulaire nazi :
la Présidente de Région Marie-Guite Dufay annonce son intention de porter plainte
Ce jeudi 11 avril, un membre du groupe Rassemblement national au conseil régional, a employé une expression empruntée au vocabulaire nazi lors de l’Assemblée plénière qui se tenait à Dijon.
Après avoir brandi des pancartes associant immigrés et viols plus tôt dans la séance, le Rassemblement national a une nouvelle fois dépassé les bornes de l’outrance en criant l’expression « untermensch » dans l’hémicycle, mot allemand appartenant à l'idéologie nazie, signifiant « sous-homme ».
« Nous ne devons jamais laisser passer les provocations et les outrances du Rassemblement national sans réagir. Emprunter au vocabulaire nazi est extrêmement grave, et donne un aperçu clair de ceux qui composent aujourd’hui un parti pourtant en quête de respectabilité », a déclaré Marie-Guite Dufay, qui a annoncé dans la foulée son intention de porter plainte auprès du procureur de la République.
Communiqué du groupe RN au Conseil régional
Parce que la sécurité des Français est la priorité du Rassemblement National, les conseillers régionaux RN ont brandi en Assemblée plénière au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, des pancartes « Violeurs étrangers dehors », pour apporter leur soutien aux militantes Némésis attaquées en justice par la maire écologiste Anne Vignot.
Dimanche 7 avril, au carnaval de Besançon, deux militantes du collectif féministe Némésis ont brandi des pancartes pour réclamer l'expulsion des violeurs étrangers du territoire français. Une demande légitime quand les chiffres sont alarmants : 46 femmes auraient pu être épargnées si les obligation de quitter le territoire français (OQTF) avaient été appliquées !
Pour avoir demandé une politique que Gérald Darmanin et Marlène Schiappa avaient eux-mêmes soutenue, la militante Yona a été placée en garde à vue et son ordinateur mis sous scellés. Un véritable acharnement sur une jeune femme de 19 ans qui ne fait que dénoncer des réalités que refusent de voir les islamo-gauchistes ! En septembre 2023, Anne Vignot tenait un discours radicalement différent quand une manifestante d’extrême gauche avait brandi une pancarte « une balle, un flic » en disant « avoir pris connaissance des faits ». La maire écologiste cautionne l'appel au meurtre des policiers mais porte plainte contre les femmes qui osent dénoncer le laxisme migratoire et ses conséquences pour la sécurité des Françaises.
En Bourgogne Franche-Comté, la majorité socialiste, alliée avec les écologistes, entretient et cautionne cette vague d'immigration depuis 2016, plus de 32 millions d'euros ont été alloués pour financer des formations aux migrants et l’argent public subventionne à tour de bras des festivals « pro migrants ».
Julien Odoul et les élus du Rassemblement National apportent leur soutien aux militantes du collectif Némésis qui, comme 85% des Français*, demandent l’expulsion systématique des délinquants et criminels étrangers.