Le festival bat son plein.
Les festivaliers se sont réunis cet après-midi au 125 rue de la Tour, chez Julien et Aurore à l’ombre d’un bouleau, allongé ou assis, bercés par le vent et les mots.
C’est Judith Gaillard « une fidèle parmi les fidèles de ce festival », précisait le président David Varline en préambule qui a donné une lecture vivante et intime d’un texte de la Québécoise Carole Fréchette.
Il était question d’amour évidemment, le fil rouge de cette édition 2024. Judith, de sa voix oscillant entre innocence, doute et exaltation a su transporter le public dans les émotions amoureuses de jeunes femmes et de jeunes hommes, avec ces témoignages (recueillies à Bruxelles par l’autrice) qui font une vie, qui remplissent une existence de douleurs et de douceurs et qui laissent espérer que demain sera tendre. Un moment de poésie hors du temps.
À noter que ce soir le repas cury-coco sera servi à la salle moulin-à-vent (météo oblige).
Demain dimanche, rendez-vous à 13 heures à la mairie pour un atelier cinéma (jouez et repartez avec vote séquence !). À 16 heures, au 125 rue le Tour : les contes de Jean-Marc Andrieu (à partir de 5 ans). À 18h30 au musée du compagnonnage, les contes ruraux de Raphaël Thiéry. À 20 heures au 155 rue Guillon : soirée de clôture : remise des prix et cinéma (le court métrage « Cola de Léon » et la comédie « Ce plaisir qu’on dit charnel » avec Jack Nicholson.)
David Bessenay
Le président Varline